16 mars 2007
l'expressioniste américain
…Je commence à haïr la vie de peintre. On commence par s’entraîner avec ce qui est à l’intérieur de soi en gardant encore un pied dans le monde normal. Puis tu es pris d’une frénésie qui t’emporte au sommet de la folie, aussi loin que tu peux aller sans jamais revenir. Le retour est une suite de semaines hébétées pendant lesquelles tu n’es qu’à moitié vivant.
M. Rothko, lettre à Clay Spohn, 11 mai 1948.
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